Truffes Feuille de prévisions pour trouver des clients

Lonely beach Nos truffes de Bourgogne fraĂ®ches sont rĂ©ceptionnĂ©es dans nos ateliers encore en terre, afin de les prĂ©server. Risotto : Vous pouvez ajouter un peu la sauce aux truffes avant d’Ă©teindre le feu lorsque le riz est presque prĂªt, cela donnera cela donne beaucoup de saveur et de puissance au plat. Avant de donner les topinambours crus aux bestiaux, il convient de les laver afin d’en extraire la terre adhĂ©rente, et ensuite de les couper avec le coupe-racines ou de les concasser grossièrement. Le feuillage des topinambours peut encore Ăªtre converti en fourrage sec pour l’hiver, comme on le fait de la feuillĂ©e des arbres, ainsi qu’il sera expliquĂ© dans le chapitre suivant. Pour les porcs, on peut leur faire consommer sur place les topinambours en leur faisant dĂ©terrer les tubercules. Le seul inconvĂ©nient qu’on reproche avec raison Ă  cette plante, est la difficultĂ© d’en empĂªcher la reproduction dans les cultures subsĂ©quentes ; les plus petits tubercules et mĂªme les moindres racines laissĂ©es dans le sol suffisent pour produire de nouvelles tiges ; le meilleur moyen pour remĂ©dier Ă  cet inconvĂ©nient, est de faire pĂ¢turer au printemps, par les vaches ou les moutons, toutes les tiges qui repoussent, puis de donner des labours et hersages soignĂ©s et Ă©nergiques.

Les avantages que prĂ©sente le topinambour, d’après V. Yvart, qui a beaucoup contribuĂ© Ă  les faire valoir et Ă  Ă©tendre la culture de cette plante, sont : de rĂ©sister aux plus fortes sĂ©cheresses, mĂªme sur des sols naturellement arides, et de croĂ®tre avec succès dans des terrains variĂ©s de la plus mauvaise qualitĂ©. C’est vn poile quarrĂ© Ă  pendants en cortine par deuant & aux costez, & Ă  grand dossier deuallat bien bas par derriere, frangĂ© par tout, qu’on met ou sur la table des Rois & Princes souuerains oĂ¹ ils prennent leurs repas, ou sur leurs thrones royaux, & ce par grandeur plus que pour obuier Ă  la cheute de la poussiere. On a cru remarquer que les carottes provenant d’une semence produite elle-mĂªme par des racines cultivĂ©es depuis long-temps dans les jardins, supportent moins bien les intempĂ©ries des saisons et les variations brusques de la tempĂ©rature que celles qui ont Ă©tĂ© cultivĂ©es long-temps en plein champ : elles sont surtout beaucoup plus exposĂ©es Ă  la pourriture dans les champs humides.

gare du nord Ainsi M. Vilmorin le cultive en grand, avec un plein succès, dans de mauvais terrains calcaires oĂ¹ l’on a souvent tant de peine Ă  crĂ©er des moyens de nourriture pour le bĂ©tail. Elles servent Ă  nourrir et mĂªme Ă  engraisser le bĂ©tail de toute espèce : les chevaux, les bÅ“ufs, les vaches, les cochons, s’accommodent Ă©galement de ces racines. En comptant que 2 livres â…” de racines de carottes contiennent autant de substance alibile qu’une livre de foin, et que 10 livres de feuilles reprĂ©sentent Ă©galement une livre de foin, on trouve qu’un hectare de carottes en rĂ©colte secondaire procure, pour les animaux, autant de substance nutritive que 94 quintaux mĂ©triques de bon foin, et que cette quantitĂ© s’élève Ă  150 quintaux mĂ©triques si les carottes sont cultivĂ©es seules. Daubenton assure mĂªme que, pour ces derniers animaux, cette nourriture, fraĂ®che en hiver, est prĂ©fĂ©rable aux choux. Dans les jardins de l’Anjou le meilleur moyen connu de remĂ©dier Ă  ce grave inconvĂ©nient est de saupoudrer la terre, Ă  l’époque de la germination, de chaux en poudre qui Ă©loigne ces animaux, tant qu’elle n’est pas Ă©teinte par les pluies, sans faire le moindre tort aux plantes.

On peut ainsi le laisser dans la terre jusqu’au printemps pour en faire la rĂ©colte au fur et a mesure du besoin. Pourtant, contrairement au chien, celui-ci n’a pas besoin de dressage particulier pour trouver la truffe qu’il sent de fort loin et qu’il localise avec la prĂ©cision d’un radar. Si la carotte doit Ăªtre enterrĂ©e très-superficiellement, il n’en est pas de mĂªme du panais, dont la semence doit Ăªtre recouverte au moins d’un pouce et demi de terre. On entendait, par intervalles, la sonnette d’un Ă©picier. Dans les sols argileux et par un temps humide, on les laisse sur la terre sans les entasser, et elles demeurent lĂ  plusieurs jours, afin qu’elles soient ou lavĂ©es par les pluies, ou dessĂ©chĂ©es par le soleil. M. V. de Tracy, dans des terrains argilo-siliceux, très-bien dĂ©signĂ©s par le nom de terres froides, et reposant sur un banc de glaise impermĂ©able Ă  l’eau, en obtint, sans engrais et presque sans frais, une rĂ©colte passable, tandis que les navets, et surtout les betteraves et les carottes, ne donnèrent presque aucun produit ; si l’on fume le terrain, la rĂ©colte surpasse de beaucoup, en poids et en volume, celle de la pomme-de-terre.

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